Historique de l’emplacement pour hommes

1968–2014

1968

  • Le Mennonite Mission and Services Board ouvre Rockhaven.

1977

  • Les hommes de Rockhaven peuvent utiliser le camp Easy Does It l’été.

1982

  • Rockhaven liquide son hypothèque.

1992

  • Achat du camp Easy Does It et du terrain.

2000

  • Bill Marsh (directeur général) prend sa retraite après 28 ans de service.

2008

  • Achat du 396, rue Brady et ouverture de la maison de transition Beyond the Rock

2009

  • Création d’un nouveau logo.

2014

  • Patricia Delyea (directrice générale) prend sa retraite après plus de 35 ans de service.
  • Fusion avec le Centre Iris de rétablissement pour femmes toxicomanes pour former les Services de rétablissement Monarch.

Historique de l’emplacement pour femmes

1976–2012

1976

  • Le Centre de rétablissement pour femmes ouvre ses portes, promenade Riverside.

1979

  • Le Centre de rétablissement pour femmes emménage chemin Ramsey.

1984

  • Janyce Bain met sur pied le groupe de travail de la maison de transition pour étudier le besoin d’un programme ou d’une résidence de soins de suivi pour femmes.

1985

  • Le ministère de la Santé approuve le financement annualisé des services de soins de suivi Robins Hill.
  • Santé Canada approuve le financement des soins de suivi pour Indigènes au Centre de rétablissement pour femmes.

1986

  • Le programme Robins Hill est offert à partir du 11 Fir Lane après avoir été temporairement établi au Centre de rétablissement pour femmes.

1987

  • Le Centre de rétablissement pour femmes reçoit des fonds du ministère de la Santé et devient le Programme de traitement du Centre Lakeside.

1989

  • On déplace le programme Robins Hill dans un nouvel immeuble au 260, rue Oak.

1990

  • L’équipe du programme Lakeside emménage dans un nouvel immeuble, chemin Ramsey.
  • Première fin de semaine Familles en rétablissement organisée par Robins Hills.

1991

  • Robins Hill offre le premier programme de toxicomanie pour lesbiennes en Ontario.

1995

  • Les conseils du Centre Lakeside et de Robins Hill se réunissent pour discuter de la possibilité de fusionner.

1996

  • Les deux organismes tiennent une assemblée annuelle conjointe pour annoncer la fusion et le nouveau nom : Northern Regional Recovery Continuum (NRRC).

1999

  • Le programme d’enrichissement du rétablissement d’une semaine, Guérison harmonieuse et enrichissante (HER), est offert pour la première fois au NRRC.

2002

  • Le NRRC lance le Programme communautaire de maternité (PCM).

2003

  • Le NRRC reçoit la désignation partielle en vertu de la Loi sur les services en français.
  • On tient la première séance de groupe Women For Sobriety au centre de traitement.

2005

  • Le NRRC est rebaptisé Centre Iris de rétablissement pour femmes toxicomanes.

2007

  • Le groupe Trauma and Recovery (traumatisme et rétablissement) est offert au Centre Iris.
  • Le Réseau local d’intégration des services de santé (RLISS) du Nord-Est est le nouveau bailleur de fonds.

2008

  • On lance le programme Connexions au Centre Iris.

2009

  • Le programme d’amélioration du traitement de cinq jours pour les femmes autochtones, Keeping Women Empowered (KWE) est offert pour la première fois.

2010

  • La première fin de semaine mère-fille a lieu.
  • On lance le groupe Women Who Love Too Much (Les femmes qui aiment trop).

2011

  • On lance le Programme de logement avec services de soutien pour toxicomanes (LSST).

2012

  • Établissement d’un partenariat avec Horizon Santé-Nord (HSN) en vue d’affecter des intervenants en toxicomanie au Service des urgences. Le programme est ensuite élargi afin d’offrir des évaluations dans le cadre des programmes pour patients hospitalisés à HSN.

Historique des services Monarch

2014–Présent

2014

  • Le Centre Iris de rétablissement pour femmes toxicomanes et Rockhaven fusionnent pour donner naissance aux Services de rétablissement Monarch!
  • Le partenariat entre HSN et les intervenants en toxicomanie au Service des urgences prend fin.

2015

  • Monarch se joint au projet « Espace partagé Sudbury » pour trouver de nouveaux locaux pour ses services et les partager avec un certain nombre de locataires dont les Services de gestion du sevrage, l’ACSM, Centraide et l’Université de Sudbury.